- Transition écologique

Le projet de la Clairière nécessite 36 000 tonnes de terre végétale pour la réalisation des espaces verts de la ZAC et pour les terrains des promoteurs immobiliers. Habituellement, de la terre non polluée et fertile issue des milieux naturels de la métropole lyonnaise est apportée sur les chantiers. Or, cette ressource devient rare et les besoins augmentent constamment puisque les jardins et espaces verts fleurissent dans la métropole.
Une alternative a donc été trouvée pour le projet de la Clairière ; la reconstitution de terre directement sur place par une série de procédés (décompactage des sols, épandage, semence de plantes fixatrices d’azote, etc.).
Le site réunissait tous les critères pour mettre en place une reconstruction de sol :
- une disponibilité en matières premières (déchets verts, compost et autre type de matériaux)
- la mise à disposition de terrain pour effectuer le mélange et le stockage
- la possibilité d’occuper un terrain pour un longue durée (3 ans environ)
Cette méthode permet :
- une économie financière
- un projet plus respectueux de l’environnement
- une limitation du trafic routier
Après 2 ans de mise en œuvre, les premiers résultats sont très satisfaisants et l’épaisseur de sol fertile s’accroît. Rendez-vous dans un an pour découvrir les résultats définitifs et l’avenir des espaces verts au sein de la Clairière.
Pour plus d’informations sur l’ensemble de l’opération de La Clairière, c’est par ici : https://laclairiere-bron-lyon.fr/.
- 16 000 € de conception, études, et pilotage
- 35 000 € de mise en œuvre (préparation du sol, plantation, etc.) sur une surface de 3 000 m²